Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

philippe pasqua

  • Imprimer

    BORDERLINE A MONACO

    L’artiste exprime ici toute sa sensibilité et questionne le public sur sa relation à la nature, à la mort et à la renaissance. « A partir de ces sujets de prédilection, il joue avec le rapport ambigu que l’homme entretient avec l’univers marin, entre peur et fascination, pour confronter le public aux enjeux actuels de protection de la biodiversité »... Robert Calcagno, Directeur général du Musée océanographique.Bordeline, Philippe Pasqua, Musée Océanographique de Monaco

    Le ton est donné. "Borderline" de Philippe PASQUA interpelle le public c'est le moins qu'on puisse dire avec cette 1ère installation en plein milieu du hall d'entrée :"Wheel of time", la roue du temps, le cycle de la vie et de la mort...

    Expo Borderline, Philippe Pasqua, Musée océanographique de Monaco

    Durant la visite des magnifiques aquariums, on réfléchit encore à cette confrontation entre la préservation de la vie dans les océans, et la pollution apportée par l'homme qui entraine la mort.

    Expo Borderline, Philippe Pasqua, Musée océanographique de Monaco

    Au dessous de la baleine mythique du Musée Océanographique créé par le Prince Albert 1er de Monaco, la sculpture "SANTA MUERTE" rappelle que l'humain est tellement fasciné par la richesse (squelette de tortue en bronze, 5m) qu'il en oublie toute notion de prévoyance... L'oeuvre évoque la destruction du monde marin, la disparition des espèces.

    Expo Borderline, Philippe Pasqua, Musée océanographique de Monaco

    Dans la grande salle du 1er étage, l'installation de l'artiste s'anime toutes les heures par une projection en musique et en images. Le bruit de la mer, les cris aussi... Mon petit-fils était fasciné.

    Expo Borderline, Philippe Pasqua, Musée océanographique de Monaco

    "Who should be scared ?" Qui devrait avoir peur... A nouveau une référence de l'artiste au discours prononcé par le Prince Albert 1er en 1921 devant l'Académie des sciences américaines de Washington. Il s'inquiétait, il y a près de cent ans, de la destruction abusive des poissons. Aujourd'hui, qui pourrait avoir peur de ce mégalodon, ancêtre du requin, espèce disparue....

    Jusqu'au 7 janvier 2018 au Musée océanographique de Monaco.