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DE CORDES ET D'ACAJOU

Au cours de ses 117 années d'existence, il a battu trois pavillons, français, anglais et italien, passé de la marine marchande à la plaisance, vu ses ponts se modifier, avant de redevenir français et d'être maintenant un navire-école ouvert à tous. Le "BELEM", trois-mâts, prestigieux témoin du patrimoine maritime français,  était à quai à Nice le week end dernier.

Belem

Deux jours pour accueillir à son bord les 2600 visiteurs qui se sont rués, en quelques heures, sur les réservations offertes par le Conseil Général des Alpes Maritimes.

Belem

Cette fin d'après midi de dimanche, nous étions donc dans les derniers privilégiés et nous avons pu profiter de bien plus que les 20mn initialement prévues par groupe.

Belem

Parmi nous, un Nantais de souche, Niçois d'adoption depuis de nombreuses années, revoyait avec émotion le navire qu'il admirait enfant. Les hasards de la vie avaient fait qu'il n'était jamais monté à bord !

Belem

Pour ma part, n'étant pas "voileuse", j'étais plus admirative des bois d'acajou parfaitement lustrés, des cordages et cuivres magnifiques que des côtés techniques pourtant bien expliqués sur de grands panneaux. J'aurai quand même bien voulu le voir toutes voiles déployées...

Belem

Impressionnantes également ces voiles épaisses entassées dans la salle à manger, à côté d'un tonneau qui contenait la ration journalière d'eau douce pour chaque membre d'équipage... De nos jours, bien évidemment, il y a un appareil pour dessaler l'eau de mer. 

BELEM

La visite de ce "monument historique" fût particulièrement agréable et donna l'idée à certains de se renseigner sur les stages de voile, ouverts à tous, proposés par la Fondation BELEM, à condition... d'être en bonne forme physique !           Quelques photos ICI

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