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    UN PEU D' ECOLE(S) DE NICE

    La grande exposition estivale 2017 raconte l'histoire de cette "Ecole de Nice" qui n'est pas une institution mais la simple constatation que plusieurs artistes des années 50 à 70 sont originaires de notre région ou bien y ont vécu et créé. Beaucoup de croisements se font avec l'exposition de 2015 qui mettait en valeur la Promenade des Anglais et les artistes qui l'ont peinte.

    Expo ecole(s) de nice, mamac, musée masséna

    4 lieux à voir : le MAMAC, le Musée Masséna, la Galerie des Ponchettes et l'Atelier 109. Parce que j'aime beaucoup ce musée et son histoire, j'ai commencé par Masséna. Le thème en est "Nice à l'école de l'histoire", les moments où Nice a eu rendez-vous avec l'Histoire. Le feu de Terra Amata est mis en parallèle avec les chalumeaux d'Yves Klein, les crémations d'Arman. Plus difficile à supporter le contraste de la joie des feux d'artifice de Dufy avec le drame du 14 juillet 2016... Le feu étant aussi la lumière, on constate nettement la pollution lumineuse sur cette photo de Nice prise par Thomas Pesquet depuis l'espace...mais on trouve la photo magnifique...

    Expo ecole(s) de nice, mamac, musée masséna

    Toujours dans la comparaison avec la précédente exposition de 2015 sur la Promenade des Anglais, l'autre thème abordé au Musée Masséna est l'invention du tourisme après l'arrivée des riches étrangers, les monuments créés pour les différentes religions, les premiers maillots de bain, les recommandations pour les noyades (ne pas pendre les noyés par les pieds !!).  Dommage rien de bien nouveau...

    Expo ecole(s) de nice, mamac, musée masséna

    Heureusement le jardin du Musée Masséna mérite toujours une halte pour son calme et ses senteurs fleuries, sur ses bancs à l'ombre des arbres, avec vue sur la rotonde ou le toit du Négresco voisin.

    Expo ecole(s) de nice, mamac, musée masséna

    Pour la partie de l'expo au Mamac, j'ai choisi une visite théâtralisée avec la Compagnie Fox'Art. Là aussi, les oeuvres ne sont pas nouvelles, mais racontées par des comédiens qui font participer le public, ça devient plus intéressant... Nous avons ainsi dansé sur l'installation pop de Martial RAYSSE, découvert, pour certains, les anecdotes de création de la première moto compressée ou du pourquoi de la destruction à la masse d'un mobilier d'appartement...

    Expo ecole(s) de nice, mamac, musée masséna

    Dans une salle toute blanche et nacrée, où l'on nous fait passer sans s'attarder sur les coups de feu de Nikki de Saint-PHalle, mon coup de coeur est allé à "Germination d'un fauteuil Louis XV" de Robert MALAVAL. 

    L’œuvre présentée appartient à la série de « l’Aliment blanc », matière indéfinie et invasive qui s’attaque à présent à ce mobilier bourgeois. Quelle est cette étrange maladie qui le ronge peu à peu ? Cette « chose » assimilable à un champignon proliférant, semble se greffer au fauteuil et se développer à ses dépens jusqu’à le parasiter totalement, à moins que ce ne soit ce dernier qui sécrète lui-même cette substance cancéreuse qui se propage et bourgeonne sur toute sa surface jusqu’à former sur l’assise deux excroissances boursouflées prêtes à éclater. Entre envahissement mortifère et puissance germinatrice « l’Aliment blanc » de Malaval ravive nos angoisses.

    à suivre, peut-être, la Galerie des Ponchettes avec Noël DOLLA, et les artistes du 109... mais pas sûr.

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    RETROSPECTIVE ERNEST PIGNON ERNEST

    Au MAMAC jusqu'au 8 janvier 2017, Ernest PIGNON-ERNEST, l'artiste niçois, un des précurseurs de l'art urbain, explique avec force croquis, dessins, photos, installations, cinquante années d'une création artistique née de ses engagements politiques, de ses coups de gueule contre les aberrations de notre société.

    Ernest Pignon Ernest, rétrospective Mamac Nice

    Tout est à lire, à regarder attentivement. Beaucoup de sujets l'ont touché, ému, mis à vif et ça sort de tous côtés dans ses dessins, ses sérigraphies placardées sur les murs des sites choisis avec soin pour créer ce choc émotionnel frontal.

    Ernest Pignon Ernest, rétrospective Mamac Nice

    Je suggérerai de voir cette exposition en plusieurs temps tant elle est forte, perturbante, les thèmes divers et nombreux. Pourtant je ne l'ai pas ressentie violente.

    Ernest Pignon Ernest, rétrospective Mamac Nice

    Jusqu'au 2 octobre 2016, une autre partie du travail d'Ernest PIGNON-ERNEST est présentée à l'église abbatiale de Saint-Pons (hôpital Pasteur). Une mise en scène magnifique de huit portraits grandeur nature se reflétant dans un miroir d'eau, avec un éclairage progressif dans ce site baroque, en fait un instant magique.

    Quelques photos ICI

    MAMAC Place Yves Klein 06300 NICE. Contact 04 97 13 42 01. Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h.

    Eglise Abbatiale St Pons, hôpital Pasteur. Entrée libre du mercredi au dimanche de 15h à 18h.

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    ARNE QUINZE AU MAMAC

    L'idée était d'attirer l'oeil sur la façade fraîchement renovée... Alors le choix s'est porté sur Arne QUINZE, l'artiste belge dont les structures monumentales sont installées aux quatre coins du monde, de la Chine au Brésil.

    Mamac, Arne Quinze, mobiles Caldeer,

    Le pari est gagné car, devant l'esplanade du Mamac, son installation de bois teinté d'orange fluo, visible dés les rues voisinantes, attire nombre de curieux, même les non passionnés de musée... 70 m de long, 12m de haut, composée de planches de bois naturel entremêlées, intitulée "Hommage à CALDER", elle est photographiée sous tous les angles, façade comprise.

    Mamac, Arne Quinze, mobiles Caldeer,

    "Le titre, Hommage à Alexander Calder, est sans équivoque : l’installation se situe entre stabilité et mobilité, à l’image de la sculpture voisine Stabile-Mobile, en métal peint (Alexander Calder, 1970). Si un être humain peut être assimilé à une de ces multiples branches, l’artiste crée de ce fait une cohésion sociale dans une société basée de manière de plus en plus affirmée sur l’individualisme." 

    L'explication valait la peine d'être donnée parce qu'au prime abord on pourrait se dire qu'elle "écrase" un peu sa voisine...alors qu'elle se veut un hommage.

    Mamac, Arne Quinze, mobiles Caldeer,

    Autre côté intéressant d'Arne QUINZE "Il nous invite à adopter une attitude humble face à la nature. Il met un point d’honneur à utiliser uniquement du bois possédant l’écolabel EFC garantissant la gestion durable des forêts. La multiplicité des planches de bois qui s’entremêlent et dont on ne parvient plus à distinguer un élément en particulier, nous renvoie à notre position en tant qu’individu perdu dans l’immensité du monde."

    Mamac, Arne Quinze, mobiles Caldeer,

    Les installations d'ARNE QUINZE en extérieur et intérieur du MAMAC sont visibles jusqu'au 27 octobre. Et en attendant "un été pour Matisse", j'en ai profité pour faire un tour dans ma "cour de récréation", voir les videos de  la "Quatrième dimension" et revoir les oeuvres de Niki de Saint-Phalle, Jean Tinguely et Yves Klein dont je ne me lasse pas.

    MAMAC, place Yves Klein, 06300 NICE Tél 04 97 13 42 01. Entrée libre tous les jours de 10h à 18h sauf le lundi et jours fériés.

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    MARS AUX MUSEES

    Pour la douzième année consécutive, les étudiants niçois et l'association MICA se sont motivés pour présenter un programme "Mars aux Musées" toujours original et varié, et attirer non seulement les étudiants dans les espaces muséals mais aussi le "grand public". Quelques vues parmi les 14 sites...

    Mars aux musées 2013, Musée Masséna, Musée des Beaux Arts, Mamac, TPI Nice, Isabelle Servol

    A la Villa Masséna, où se tenait l'exposition "Présence Russe", un Tsar plus vrai que nature vous invitait à vous plonger dans l'ambiance de la Russie Impériale. Après le traditionnel pain de bienvenue, de jeunes acteurs proposaient des extraits de pièces d' Anton Tchekhov dans lesquelles ils faisaient participer une personne du public.

    Mars aux musées 2013, Musée Masséna, Musée des Beaux Arts, Mamac, TPI Nice, Isabelle Servol

    Evocation par la danse classique, le chant, la musique, de tous ceux qui ont fait la réputation de cette culture et les traces qu'elle a ainsi laissées à Nice, comme par exemple le château Valrose, la construction de l'église russe du parc impérial.

    Mars aux musées 2013, Musée Masséna, Musée des Beaux Arts, Mamac, TPI Nice, Isabelle Servol

    Au Musée Chéret, musée des Beaux-Arts, c'est au travers des cinq sens que l'on nous proposait de voyager dans les oeuvres. Retrouver un tableau en humant un parfum, tâter à l'aveugle une sculpture pour en deviner le sujet, déguster un macaron pour évoquer une toile, écouter un conte pour raconter une oeuvre...

     

    mars aux musées 2013,villa masséna,musée chéret,théâtre de la photographie et de l'image,mamac,isabelle servol,cie théâtre de lumière

     

    Au Théâtre de la Photographie et de l'Image, les étudiants de l'atelier théâtre de l'Université Nice-Sophia Antipolis avaient fait le lien entre les œuvres des 5 photographes de l'exposition « Portraits croisés » et les textes d'Eve ENSLER dans «Je suis une créature émotionnelle» et «un corps parfait» dont ils préparent un spectacle. Les relations mères-filles, la place de la femme, le féminin, le corps, autant de thèmes mis en scène tant en photos qu'en extraits de pièces de théâtre.

    Mars aux musées 2013, Musée Masséna, Musée des Beaux Arts, Mamac, TPI Nice, Isabelle Servol

    Quant au Mamac, haut lieu de l'art contemporain, une médiation théâtralisée faisait s'entrechoquer deux époques. Sur une mise en scène d'Isabelle Servol de la Compagnie Théâtre de Lumière, une conférencière tentait d'expliquer le travail et les oeuvres de Niki de Saint-Phalle, Jean Tinguely et Yves Klein à deux personnages venus du passé...

    Mars aux musées 2013, Musée Masséna, Musée des Beaux Arts, Mamac, TPI Nice, Isabelle Servol

    Pour le plus grand bonheur des petits et des grands, les répliques les plus cocasses fusaient entre les personnages, l'une à fond dans le délire conceptuel des artistes et les deux autres dans le stéréotype de l'oeuvre d'art classique chère à leur époque. De plus, le public participait activement à tous les "à quoi ça vous fait penser ?" ce qui entrainait les acteurs vers des improvisations pleines d'humour.

    Si toutes les visites d'expo se faisaient avec ces guides-là, le Mamac battrait des records de fréquentation...et les autres musées aussi.

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    CONTEMPORAIN, du très confirmé aux petits nouveaux...

    Deux lieux très différents pour deux expos d'un art que l'on dit contemporain, c'est à dire qui se pratique en ce moment.
     
    MAMAC, Nice - Travels in the Mediterraneean, Cai GUO-QIANG
    Je commencerai par ce  que j'aime appeler "ma cour de récréation" : le MAMAC et ses grands volumes blancs ! Je travaille juste à côté, alors toute l'année, j'y vais très souvent "m'aérer la tête".
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    Jusqu'au 9 janvier 2011, l'exposition "Travels in the Mediterranean" du chinois CAI GUO-QIANG est un superbe dépaysement ! La fresque imposante de cette baie des anges qui se reflète dans un lac artificiel "couleur huile d'olive" a été créée à Nice, dans les anciens abattoirs devenus ateliers d'artistes, avec la technique particulière que cet artiste de renom international maîtrise et partage avec  les jeunes élèves d'écoles d'Art et le public, il y manie la poudre à canon comme medium.
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    De ses séries "Projects for Extraterrestrials" à ses installations "Reflection - A gift from Iwaki", pour CAI GUO-QIANG, tout est sujet à échange entre les spectateurs et l'univers, avec le public tout simplement. Impressionnante, cette épave de bâteau d'où s'échappe 9 tonnes de porcelaine blanche ! L'installation symbolise l'amitié de plus de vingt ans entre l'artiste et l'équipe d'IWAKI, ville portuaire japonaise où elle (l'épave) s'était échoué sur une plage. Elle voyage de site d'exposition en site d'exposition grâce aux bénévoles d'Iwaki.
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    Prenez votre temps pour visiter cette expo. Il y a pas moins de 7 écrans video pour vous expliquer le parcours de CAI GUO QIANG, qui fut notamment le directeur artistique des effets spéciaux pour les cérémonies d'ouverture et de fermeture des JO de Pékin en 2008, également de très intéressantes démonstrations, et bien évidemment tout le film de la performance réalisée à Nice spécialement pour cette expo haut de gamme, sans "tape à l'oeil".
    MAMAC,  Promenade des Arts à Nice. Tél 04 97 13 42 01
    Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h. Entrée libre.
     
     
    CHATEAU-MUSEE GRIMALDI - Biennale de l'UMAM
    Depuis le DRESS CODE de Jean-Antoine HIERRO en 2009, le château-musée de Cagnes sur mer renoue avec la tradition des "grandes" expos à l'image de celles du temps du Festival International de la Peinture. L' UMAM, association créée en 1946 par MATISSE et BONNARD pour promouvoir la création méditerranéeenne de l'époque,  présente cette année une exposition réunissant à la fois des artistes connus, tels que BEN ou SOSNO, et de jeunes plasticiens "ayant un fort lien avec la Côte d'Azur".

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    "Tout va bien" installation lumineuse de Guy Champailler

    Le thème "Clairs-Obscurs" est à prendre à un sens large : l'opposition, le contraste, le duel, le dialogue.
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    "Déjeuner sur l'herbe" installation Myriam Klein
    Le premier contraste est sans doute celui entre ce décor médieval et les installations plastiques des exposants : néons, videos, cartons, plexi, voiture, insectes.... voisinent avec les vieilles pierres.
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    "Lux box, évocation de la matière par la concentration des couleurs,
    une vision incertaine, musicale et lumineuse" par Benoit Colardelle
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    "L'anamorphosée" de Julia Otto
    L'UMAM, c'est aussi le plus ancien Prix d'Art Contemporain français, à l'origine réservé aux artistes de moins de 40 ans. Pour cette édition 2010, ce prix est allé à l'oeuvre de Julia OTTO, "l'anamorphosée" : bien dans le thème, au prime abord des papillons colorés, en fin de compte une tête de mort....
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    Installation Charlotte Pringuey
    Carrément noir charbon, l'installation de Charlotte PRINGUEY qui a obtenu un prix spécial du jury.
    Il est vrai que la plupart des créations présentées sont plus proches de l'obscur que du clair, mais elles ne manquent pas d'un certain humour... noir et frisent souvent la dérision.

    Pour accueillir les 48 exposants, il a fallu "pousser les murs" et étendre la Biennale aux locaux de la Maison des Artistes voisine.

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    "Work in progress" de Cédric TANGUY

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    côté Maison des Artistes - côté Château-Musée

    Une exposition qui donne à voir ce que font les jeunes artistes d'aujourd'hui : "clairs-obscurs" de l'UMAM à découvrir jusqu'au 6 septembre 2010, et sans doute un peu plus longtemps...
     
    Château-Musée Grimaldi Tél 04 92 02 47 30.
    Simone Dibo-Cohen, présidente de l'UMAM, 06 20 88 16 90.
    Horaires du mercredi au lundi de 10h à 12h et de 14h à 18h, Tarif plein 4 euros, réduit 2 euros. Entrée libre le 1er dimanche du mois.
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    Robert LONGO au MAMAC

    C’est l’expo qui m’a le plus impressionnée de toute cette année 2009 ! Jusqu'au 13 Décembre 2009 au MAMAC de Nice : à ne surtout pas manquer.

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    Les dessins de dimensions gigantesques vous laissent bouche bée devant la force qu’ils dégagent, la précision des détails et la lumière qui leur donnent vie, sans parler de la maîtrise exceptionnelle de l’artiste pour cette technique du fusain déjà bien difficile au format « normal »… Dessinateurs, artistes peintres, regardez de près ce travail phénoménal. Photographes, vous serez bluffés ! Visiteurs, lisez l'interview de l'artiste dans le catalogue de l'expo, vous serez séduits par le personnage.

     

     

    http://www.mamac-nice.org/francais/index.html

    Un extrait de la présentation : Dès sa prime jeunesse, Robert Longo est fasciné par l'univers médiatique, le cinéma, la télévision, les magazines et les bandes dessinées. Il pratique avec une égale réussite la sculpture, la photographie, la performance ou l’art vidéo. A Nice, on retrouve les séries les plus fameuses de son œuvre, celles qui ont fait sa notoriété internationale, celles qui ont le plus fortement marqué la critique et le public : les Combines, les œuvres sur papier au crayon graphite et au fusain, des sculptures. Les Men in the Cities des années 80 restituent la solitude de l’habitant des villes dans ces silhouettes dégingandées contorsionnées en des attitudes bizarres, sous l’impact de balles imaginaires…